Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog

" TOURNOSOL " danse Hip-Hop

Photo de tourneausol

tourneausol

Description :

"Tournosol" est une association de danse Hip-Hop à st pierre de chandieu créée en oct. 2005.
Vous allez pouvoir voir les élèves évolués tout au long des battles et des diverses prestations auxquelles ils ont participés.

Bonne visite et n'hésitez pas à nous laisser des commentaires!

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer

Ses Honneurs (6)

  • Kiffé Koi !
  • Amis 10
  • Post 1
  • Old Skool
  • Fans 10
  • Com' 100

» Suite

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by tourneausol

Signaler un abus

Infos

  • Création : 27/10/2005 à 08:32
  • Mise à jour : 24/08/2011 à 05:44
  • 3 articles
  • 291 commentaires
  • 9 amis
  • 14 favoris
  • 10 kiffs

Ses archives (3)

  • +++INFO+++INFO+++INFO+++
  • L'HISTOIRE DE LA DANSE HIP-HOP
  • HISTOIRE DE LA CULTURE HIP HOP

Ses fans (13)

  • spctournesol
  • pitchinete
  • expressdanse4
  • cc6993
  • justine021
  • babygirldu69780
  • paris-en-vrac
  • mims-697
  • maxoupilami01
  • CwalkFCWC

» Suite

Sources (14)

  • CwalkFCWC
  • lil-star69
  • expressdanse4
  • OoKeStyoO
  • hip-hopsession2
  • maxoupilami01
  • cc6993
  • BAKsoldat
  • spctournesol
  • bboy-LiLsO

» Suite

Abonne-toi à mon blog !

RSS

+++INFO+++INFO+++INFO+++

POUR LES INSCRIPTIONS C'EST
AU FORUM DES ASSOCIATIONS

LE SAMEDI 10 SEPTEMBRE 2011

AU GYMNASE

A ST PIERRE DE CHANDIEU

DE 10H A 18H

+++INFO+++INFO+++INFO+++

 
​ 3 | 24 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.201.96.43) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 12 décembre 2008 08:18

Modifié le mercredi 24 août 2011 05:48

L'HISTOIRE DE LA DANSE HIP-HOP

Faire l'historique de la danse Hip-Hop n'est pas une mince affaire ; de nombreuses personnes sont à l'origine de cette danse. Pour le moins, nous pouvons être certains qu'elle a tiré son inspiration dans la danse africaine et sud-américaine...

Durant les années 50 et 60, New York s'épanouit sous l'arrivée massive d'immigrés de tous continents. Ce melting-pot contribuera à la création de cette danse, en puisant dans la rythmique et la danse africaine, ainsi que dans la Capoeira,le kung fu, la Salsa...

Des dance-floor va naître une génération de jeunes danseurs appelés « b-boy », nom donné par DJ Kool Herc à l'origine de nombreuses créations dans le mouvement Hip-Hop. Le nom de « b-boy » n'a pas de signification précise, on parlera de bronx-boy, bad-boy, break-boy (un break en musique consiste en l'interruption de tous les instruments de jouer excepté la batterie qui continu le beat) car ces danseurs évoluaient sur les break des disques que rallongeaient les DJ en reproduisant en boucle les rythmiques, à l'aide des deux mêmes vinyles)

Les night-clubs vont être le lieu d'échange de ces différentes cultures, James Brown avec son « Get on the good foot » va être à l'origine d'une danse acrobatique et extrêmement énergique. Les jeunes vont préparer leur pas et les mettre à exécution lors de ces soirées.



Une nouvelle danse est née : le Breakdance (ou b-boyin') et de nombreux groupes vont émerger dans les années 80, comme les Rock Steady Crew, Dynamics Rockers, Crazy Breaker, Floor Lords, New York City Breakers... Dégageant des personnalités telles que Frosty Freeze, Crazy Legs, Ken Swift, Pee Wee, Flowmaster, Ken Rock...

De grands duels vont avoir lieu notamment celui entre les Dynamics Rockers et les Rock Steady Crew, qui attireront l'½il des médias et seront filmés pour le film « Style Wars », un documentaire sur la culture Hip Hop.

Parallèlement à la création du break, la Côte Ouest des Etats-Unis, va voir apparaître des danses comme l'« Electric Boogie » plus connu en France sous le nom de « Smurf », popularisée par les émissions de Sydney « H.I. P. H. O. P.”. Sydney va être le réel « porte-parole » de cette danse en France, et va la faire connaître ainsi à des millions de jeunes français.

Le « Lockin' » (blocage) va voir le jour aussi. Crée par Don Campbell, inspiré du célèbre mime Marcel Marceau, figure populaire en France. Ces danses « debout » seront associées à la danse Hip Hop même si elles ne le sont pas vraiment car elles sont directement influencées par la musique Funk qui n'est pas Hip Hop.



En pratiquant la danse Hip Hop et en respectant sa culture vous contribuez à l'histoire du hip-hop"

let's dance!!!
​ 4 | 5 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.201.96.43) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 27 novembre 2005 14:14

Modifié le mardi 06 décembre 2005 09:14

HISTOIRE DE LA CULTURE HIP HOP

A l'heure actuelle il y a de plus en plus de violence, sexe et arrogance, ceci sont les maîtres mots d'un style qui se veut plus commercial que réfléchi. Pourtant, ce n'est pas son fondement, et ce n'est pas non plus ce qu'il dégage...

Aujourd'hui, il faut briser les préjugés pour permettre à la culture hip hop de mieux se développer, et surtout d'être mieux comprise. Elle contient un message fondamentalement positif, porteur d'espoir et de solidarité, qui je pense mérite une attention plus soutenue de la part de son public.

Le Hip Hop est avant tout un art, et comme tout art qui se respecte, il mérite qu'on prenne le temps de s'asseoir, de réfléchir au message délivré par l'artiste. Il faut dépasser les façades et les limites de la mode pour s'apercevoir que le Hip Hop n'est pas un concept vide de sens, mais bel et bien l'expression de toute une réflexion initiée dès le début des années 70. C'est l'expression d'un mode de vie, de la pensée de toute une communauté.

Traditionnellement, on le caractérise par 5 éléments fondamentaux :

☻la musique

☻la danse

☻le graffiti

☻le djay-ing

☻beat-boxing


mais KRS-1 dépasse cette vision en y ajoutant « street knowledge », « street fashion », « street language » et « street entreprenorialism ». Ainsi, plus qu'un art, le Hip Hop est une culture. Souvenez-vous : « You are not just doing Hip Hop, you ARE Hip Hop » ( KRS-1 ).


Afrika Bambaataa est celui qui a donné une conscience ( « consciousness » ) à ce mouvement, en créant la Zulu Nation et en instiguant les Infinity Lessons dès les années 1970. Il a établit une représentation de ce que doit être cette culture, avec comme piliers fondamentaux la solidarité, la morale, et la recherche de la connaissance. Afrika Bambaataa a, en quelque sorte, mis de l'ordre dans le Hip Hop en définissant ses aspects, sa finalité et ses moyens. Cette aspiration à voir les populations se réunir et mettre fin à la violence et à la haine est pourtant de plus en plus écrasée par l'apologie des armes et de la violence faite dans les chansons rap modernes.


L'opinion publique associe trop souvent le rap à la violence, la vulgarité, et l'incitation à la débauche. Ce jugement est légitime : il suffit de regarder un clip de Nelly ou du même genre, pour le comprendre. L'aspect champagne, dollars et filles quasi-nues est assez révoltant et témoigne de la superficialité de ce courant. C'est réellement dommage de voir ce phénomène atteindre un tel développement. L'idée dégagée par ces « gangsta-rappeurs » est une contradiction directe à la nature du Hip Hop, et c'est celle qui est la plus populaire. Elle a perdu toute réflexion, et KRS ONE va même jusqu'à appeler ce mouvement Hip-Pop. Le problème là dedans, c'est tout ce phénomène de mode autour du rap. La plupart des gens écoutent cette musique, s'habillent « street », sans vraiment s'y intéresser, sans essayer de comprendre, ni de réfléchir au fondement de sa culture.


Le Hip Hop n'est pas un phénomène de masse, il s'adresse à des gens intelligents, capables de mener une réflexion autour d'une chanson, d'un artiste, d'un message. Ce n'est fondamentalement pas un fait populaire ou de masse.

Réduire le rap à ce qu'on entend à la radio ou ce qu'on voit à la télé, c'est occulter un aspect digne d'intérêt, et se préoccuper d'un concept vide de sens et d'idées réfléchies. Evidemment,différencier le « bon » hip-hop underground du « mauvais » commercial paraît naïf, sachant que chaque artiste apporte sa pièce au puzzle que représente cette culture. Effectivement, nombre des « commerciaux » d'aujourd'hui sont passés par l'underground ( Jay-Z, Snoop Dogg... ), apportant leur contribution au développement du rap, mais leurs ambitions ne sont pas toujours vraiment motivées par l'amour du « real hip hop » : comme dit Fat Joe ( membre de DITC ) « j'ai fait du underground parce que je n'avais pas le choix; j'ai toujours voulu être connu et gagner plus » (interview diffusée dans Lundi Investigation sur Canal+). L'idée que je veux développer est que l'image et les valeurs véhiculées par cette sorte de musique ne correspondent pas à celle de Bambaataa, qui, pour moi, sont les plus dignes d'intérêt. L'important n'est pas d'entrer dans l'histoire pour l'argent qu'on a gagné, mais pour ce qu'on a apporté au hip hop, en le façonnant, lui donnant un objectif,un aspect, des valeurs...


Par son origine, le rap est forcément une critique, le fait est indéniable. Né dans ce qu'on appelle les « projects », développé par les Noirs- américains, son fondement reste celui d'une minorité mal intégrée, pauvre, et souvent révoltée par les inégalités. Cependant, le rap reste une musique, qui , par nature, est l'expression de l' espoir de voir des jours meilleurs.
La violence, l'amour, la famille, la religion et la pauvreté sont des thèmes récurrents dans ces chansons et les artistes donnent, plus qu'une simple exposition des faits, une réelle analyse et une réflexion lucide. Le message positif est fondamental, le « Stop the violence Movement » créé dans les années 1980 par KRS-ONE a trouvé une place prédominante dans le monde du Hip Hop, ralliant à sa cause des artistes tels que Bam et sa Zulu Nation, Run DMC, Common, etc. Ce mouvement est d'ailleurs prolongé aujourd'hui avec l'action « Hip Hop for Respect » qui a pour objectif d'offrir une dimension instruite et non-violente à cette culture. Il suffit d'écouter une chanson de Gang Starr pour s'apercevoir que les textes à morale de Guru sont pertinents, éclairés et sensés. Peut on réellement penser une incitation à la violence et à la débauche en écoutant « Moment of Truth » ?
Le message délivré par le Hip Hop est fondamentalement positif et réfléchi.


Mon souci, c'est que pas mal de gens en quête de style se mettent au hip hop juste parce que c'est la mode, ignorant les valeurs et les concepts inhérents et tuant finalement peu à peu la culture. Ils font semblant d'écouter les chansons, mais n'y comprennent strictement rien car ils ne font aucun effort de réflexion, et dans ce cas là, le rap devient accessoire de mode.

Le gangsta-rap a créé un stéréotype qu'il faut dépasser. Ce n'est pas parce qu'on vit avec le Hip Hop qu'on doit ressembler à un gangster, fumer des joint, bousculer les dames âgées dans la rue ou être vulgaire. La plupart des gens associent ces 2 faits, mais ils sont totalement indépendants. La preuve en est faite sur le titre « it's OK » de All Natural. : « You can be dope, and still finish school; you ain't got to glorify what's wrong ( ... ) ” (NDLR : Tu peux être "stylé" et pourtant finir l'école; tu n'es pas forcé de glorifier ce qui est mauvais) Capital D, MC de All Natural, sait de quoi il parle. Etudiant en fac de droit, il fait partager sa vision du Hip Hop depuis plus de 10 ans, avec un succès croissant. Il faut se rendre compte que l'éducation, la recherche de la connaissance peuvent être une partie du hip hop au même titre que le plaisir d'écouter une bonne chanson, le travail fourni pour danser ou pour réaliser une fresque.


Pour écouter du rap il est nécessaire de connaître un minimum l'histoire de celui-ci. Dans de nombreuses chanson on trouve des références, directes ou indirectes, à des « grands » de la chanson tels que Afrika Bambaataa, Lord Finesse, Grandmaster Flash, DJ Kool Herc, Fat Boys ou Gang Starr .... Ainsi qu'à des autres artistes, du jazz, du gospel, de la funk et du blues. Common intitulant son album « Like water for chocolate » en référence au livre de Laura Esquivel « Como agua para chocolate », J.Rawls ( Lone Catalysts ) s'appropriant le nom de l'économiste John Rawls ... ces choix ont une signification et sont autant de références à ce qu'on appelle la culture générale, démontrant une fois de plus à quel point le hip hop est indissociable de la connaissance. Dans chaque chanson on trouve des références à d'autres artistes ou chansons, des faits historiques, des ½uvres littéraires ou musicales, des réalités scientifiques etc.

Dossier réalisé le 29/03/2004 par Sway style2ouf.com modifié par bouda
​ 3 | 6 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (44.201.96.43) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 27 novembre 2005 13:50

Modifié le mardi 12 juin 2007 07:02

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile